L’UdeM obtient huit nouvelles chaires de recherche du Canada et quatre renouvellements
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Le 4 mai 2018
Ces 12 chaires représentent un investissement de 9,6 M$ pour la recherche à l’Université.
Une nouvelle moisson de 12 chaires de recherche du Canada: c’est le bilan de l’Université de Montréal à l’issue du concours d’avril 2017 du Programme des chaires de recherche du Canada. Il s’agit d’un investissement direct de 9,6 M$ pour l’Université. Ces chaires font partie des 186 que le gouvernement fédéral vient d’accorder ou de renouveler dans des universités canadiennes.
Le Programme des chaires de recherche du Canada a pour objectif principal de recruter et de maintenir en poste les meilleurs chercheurs. Les chaires octroyées s’inscrivent dans les secteurs d’excellence en recherche de l’Université de Montréal, que ce soit le cycle du vivant, la biodiversité, les données à l’action ou le domaine des systèmes innovants.
La vice-rectrice à la recherche, à la découverte, à la création et à l’innovation, Marie-Josée Hébert, tient à féliciter les 12 titulaires. «Ce sont des chercheuses et chercheurs très talentueux qui, grâce à cet appui, donneront une nouvelle impulsion à une variété de champs d’études. Pour tous, il s’agit d’une reconnaissance autant que d’un encouragement à redoubler d’efforts pour repousser encore les limites de la connaissance.»
Les nouvelles chaires de recherche du Canada à l’UdeM
Isabelle Archambault, professeure agrégée à l’École de psychoéducation de la Faculté des arts et des sciences (FAS), est titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur l’éducation, le bien-être des enfants et le succès en contexte scolaire (niveau 2).
Miriam Beauchamp, professeure agrégée au Département de psychologie de la FAS, dirige la Chaire de recherche du Canada sur les traumatismes crâniens chez les enfants (niveau 2). Elle est aussi chercheuse au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine.
Shalini Lal, professeure adjointe à l’École de réadaptation de la Faculté de médecine, est à la tête de la Chaire de recherche du Canada sur l’innovation et les technologies pour les soins en santé mentale des jeunes (niveau 2). Elle est également chercheuse au Centre de recherche du CHUM.
Étienne Laliberté, professeur agrégé au Département de sciences biologiques de la FAS, occupe la Chaire de recherche du Canada en biodiversité fonctionnelle végétale (niveau 2).
Sonia Lupien, professeure titulaire au Département de psychiatrie et d’addictologie de la Faculté de médecine, a été nommée à la Chaire de recherche du Canada sur le stress humain (niveau 1). Mme Lupien est aussi chercheuse au Centre de recherche de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal.
Isabelle Ouellet-Morin, professeure agrégée à l’École de criminologie de la FAS, a obtenu la Chaire de recherche du Canada sur les origines développementales de la vulnérabilité et de la résilience (niveau 2).
Sébastien Talbot, professeur adjoint au Département de pharmacologie et physiologie de la Faculté de médecine, dirige la Chaire de recherche du Canada en neuro-immunologie (niveau 2).
Marc Therrien, professeur titulaire au Département de pathologie et biologie cellulaire de la Faculté de médecine et directeur scientifique de l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie, est à la tête de la Chaire de recherche du Canada en signalisation intracellulaire (niveau 1).
Les quatre chaires de recherche du Canada renouvelées à l’UdeM
Kathy Borden, professeure titulaire au Département de pathologie et biologie cellulaire de la Faculté de médecine et chercheuse principale à l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie, poursuit ses travaux à la Chaire de recherche du Canada en biologie moléculaire du noyau cellulaire (niveau 1).
Sylvain Chemtob est professeur titulaire aux départements de pédiatrie, d’ophtalmologie et de pharmacologie et physiologie de la Faculté de médecine et chercheur aux centres de recherche du CHU Sainte-Justine et de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. La chaire de recherche du Canada qu’il conserve porte sur les rétinopathies aux extrêmes de la vie (niveau 1).
Vincent Larivière, professeur agrégé à l’École de bibliothéconomie et des sciences de l’information de la FAS, reste titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les transformations de la communication savante (niveau 2).
Jesse Shapiro, professeur adjoint au Département de sciences biologiques de la FAS, poursuit ses travaux à la Chaire de recherche du Canada en génomique microbienne évolutionnaire (niveau 2).