Universitaires: La Conversation veut vous entendre!
- UdeMNouvelles
Le 2 novembre 2018
À l'approche du lancement, avec l'appui de l'UdeM, du site La Conversation Canada, les professeurs et les diplômés des cycles supérieurs sont appelés à proposer des articles pour ce nouveau média.
Les universitaires, à la demande de journalistes, commentent régulièrement l’actualité en lien avec leur expertise. Il y a quelques années, un nouveau média a fait son apparition pour donner aux professeurs du monde entier un accès direct au grand public à travers une plateforme de diffusion d’articles dont ils sont les auteurs. The Conversation est aujourd’hui offerte dans une dizaine de pays, dont la France, les États-Unis, l’Espagne et le Canada… anglais.
Cet automne, avec l'appui de l'Université de Montréal, The Conversation Canada lance une version en français de l’outil, La Conversation Canada. Pour y contribuer, les auteurs doivent être professeurs ou étudiants des cycles supérieurs parrainés par un professeur et être rattachés à l'Université de Montréal ou à un autre établissement de langue française.
À titre de partenaire, l’UdeM jouira d’un certain nombre d’avantages, dont la traduction en langue anglaise de tous les textes de ses professeurs et leur diffusion sur les plateformes anglophones de The Conversation. L’Université sera également consultée chaque semaine sur les sujets d’actualité que La Conversation Canada souhaite aborder, ce qui lui permettra de proposer les noms de certains de ses experts. Évidemment, ceux-ci seront libres de soumettre ou pas un texte.
Comment ça marche?
Le processus éditorial de La Conversation est collaboratif. Les auteurs soumettent d’abord à l’équipe éditoriale une brève description de l'article envisagé. Si le projet est accepté, les auteurs collaborent avec les éditeurs de La Conversation pour établir l'angle et la structure de l'article.
La Conversation se charge de réviser les articles jusqu’à leur publication. Les auteurs ont le contrôle sur la version définitive: rien n’est publié sans leur autorisation.
Une fois le texte publié, les auteurs ont accès à un tableau de bord qui fournit de nombreux indicateurs de consultation: nombre de clics, localisation des lecteurs, liste des reprises dans les grands médias, etc. Le tableau de bord comptabilise aussi toutes les mentions sur Facebook, Twitter et LinkedIn, ainsi que les commentaires sur le site de La Conversation.
C’est la journaliste Martine Turenne qui a été nommée rédactrice en chef de La Conversation Canada. Mme Turenne possède une grande expérience en journalisme au Québec. Elle était jusqu’à tout récemment rédactrice en chef de Droit-Inc.com et d’Espresso-Jobs et a auparavant occupé les fonctions de journaliste et de rédactrice en chef chez TC Media et Québecor, à L’actualité et Radio-Canada.
Universitaires, à vos claviers!
Comme la version française de The Conversation Canada sera en ligne sous peu, Mme Turenne et le Bureau des communications et des relations publiques de l’UdeM sollicitent les professeurs de l’Université pour qu’ils soumettent des articles qui soient à la fois liés à leur domaine de recherche et inspirés par l’actualité. Les sujets ne manquent pas: sciences, santé, éducation, technologie, politique, arts, économie et affaires, énergie, environnement, culture, société, etc.
Les professeurs et étudiants des cycles supérieurs désireux d’écrire pour ce nouveau média peuvent communiquer directement par courriel avec Martine Turenne.
Relations avec les médias
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Jeff Heinrich
Université de Montréal
Tél: 514 343-7593