Si la tendance se maintient dans les pratiques diagnostiques, nous risquons de «perdre le signal» de l’autisme, craint Laurent Mottron, professeur au Département de psychiatrie et d’addictologie.
Les personnes qui subissent une commotion cérébrale, même légère, peuvent avoir de la difficulté à identifier les odeurs dans les jours qui suivent et éprouver des problèmes d'anxiété un an plus tard.
Selon une étude menée par l’Université de Montréal, crier, fesser, gifler ou secouer un enfant pourrait altérer ses «circuits cérébraux de la peur» jusqu’à l’adolescence.
Des chercheurs de l’UdeM ont découvert un processus moléculaire par lequel des médicaments antileucémiques agissent, ce qui ouvre la porte à des traitements très prometteurs.