Ariane Songa-Côté, bachelière en sciences biomédicales

Ariane Songa-Côté

Ariane Songa-Côté

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En cette semaine des collations des grades de l’Université, au tour d’Ariane Songa-Côté, diplômée en sciences biomédicales, de nous parler de son parcours de formation.

Ariane Songa-Côté a terminé son baccalauréat en 2020, en pleine pandémie. Cette semaine, elle célèbre avec enthousiasme et fierté cette étape charnière auprès de ses collègues et de ses proches. C’est d’ailleurs elle qui a été choisie pour prononcer l’allocution introduisant le fameux lancer du mortier à la fin de sa cérémonie.

Aujourd’hui, la bachelière poursuit sa formation à l’Université de Montréal: elle a entrepris une maîtrise en santé publique, option Santé mondiale. L’engagement social et la sensibilisation à la diversité culturelle font partie de ses priorités. Allons la rencontrer!

Qu’est-ce que ça vous fait d’avoir terminé vos études de premier cycle?

Le baccalauréat en sciences biomédicales a été une superbe aventure, très exigeante, mais tellement enrichissante. C’est impressionnant de constater à quel point ces trois années d’études ont passé vite! J’ai l’impression que c’est hier que je commençais mon bac à l’UdeM. C’est un beau sentiment d’avoir un diplôme universitaire en main, un mélange d’excitation et de nostalgie! C’est une étape de franchie qui ouvre de nombreuses perspectives.

Pourquoi avoir décidé d’étudier en sciences biomédicales?

J’ai toujours eu un grand intérêt pour les sciences, particulièrement la biologie humaine et le fonctionnement complexe du corps humain. Le programme de sciences biomédicales a été une occasion parfaite pour approfondir mes connaissances dans ce domaine, découvrir une panoplie de champs d’intérêt et explorer le monde de la recherche. Présentement, dans ma maîtrise, je constate la complémentarité entre ces deux programmes. Le bagage que j’ai acquis en sciences biomédicales me permet de mieux comprendre les répercussions des enjeux de santé publique que nous étudions à la maîtrise.

Que retenez-vous de votre passage à l’Université?

J’ai été marquée par mes débuts à l’Université! C’était une étape d’adaptation, pleine de défis et de nouveaux apprentissages. J’ai aussi connu des enseignantes et des enseignants inspirants, et des personnes exceptionnelles avec qui j’ai partagé des moments inoubliables. Les heures passées à la bibliothèque, dans les laboratoires, dans les salles de cours et d’examens: ce sont des moments marquants qui me font maintenant sourire lorsque j’y repense.

Comment entrevoyez-vous les défis qui vous attendent?

Je sais que les défis à relever seront nombreux! La santé mondiale est un champ d’activité palpitant, où il faut être prêt à sortir de sa zone de confort, particulièrement en contexte de crise sanitaire. Les populations à l’échelle mondiale font face à divers problèmes de taille qui se sont exacerbés en raison de la pandémie. Pour le moment, je me concentre sur un projet à venir, soit mon stage de fin de maîtrise en République démocratique du Congo. Ce sera un très beau défi et, bien sûr, une superbe expérience pour commencer ma carrière dans la discipline.