Il voulait travailler à l’international, mais il a choisi d’oeuvrer auprès des Premières Nations : portrait de Samuel Rainville, agent de liaison en soutien à la communauté étudiante autochtone.

Les cours de langue innue à l’Université de Montréal connaissent un succès croissant depuis leur lancement, en 2017.

Une étude met en lumière l’alimentation, le mode de vie et l'état de santé général de plus de 500 adultes de 10 communautés des Premières Nations au Québec.

Au cours d’un stage, des étudiantes ont vécu une expérience de soins infirmiers enrichissante dans les communautés cries de Waswanipi et Waskaganish.

Dans son doctorat, Carole Delamour étudie le rapatriement d’objets culturels ayant appartenu à des Premières Nations.

Dans son doctorat, Michael Rapinski étudie les pratiques médicales d'autochtones à partir de leurs plantes.

Michael Rapinski étudie le diabète chez les Cris et les Innus du Québec ainsi que chez les Palikur de Guyane et leur façon de se soigner en recourant aux plantes médicinales.

Une anthropologue a accompagné des Ilnuatsh désirant rapatrier des objets culturels datant du siècle dernier conservés dans un musée américain.

Anna Mapachee, qui a terminé ses études cette année, a laissé un héritage précieux à l’UdeM pour l’accueil des étudiants autochtones et le rapprochement des cultures.

Désormais, une déclaration de reconnaissance des territoires autochtones sur lesquels l’Université de Montréal est érigée pourra être lue au début des activités institutionnelles qui seront tenues.