Les écoles d’été du CÉRIUM, une ouverture sur le monde
- UdeMNouvelles
Le 24 novembre 2021
- Stéphanie Deschamps
Le Centre d'études et de recherches internationales de l’Université de Montréal reçoit le Prix d’excellence pour l’internationalisation des programmes.
«Droit international européen et comparé de l’environnement»: voilà l’activité qui est à l’origine de ce qui allait devenir les écoles d’été du Centre d'études et de recherches internationales de l’Université de Montréal (CÉRIUM). Que ce soit en français, en anglais ou même en espagnol, le CÉRIUM offre, depuis 2005, une série d’écoles créditées, axées sur divers enjeux internationaux et s’inspirant de l’actualité mondiale.
Si la pandémie a forcé l’arrêt d’innombrables activités, cela n’a pas empêché l’équipe du CÉRIUM de tout mettre en œuvre afin de proposer des écoles en 2020 et 2021. En repensant son modèle et en maximisant les efforts sur les réseaux sociaux, elle a réussi à attirer plus de 420 participants et participantes en 2020, soit un nombre record d’inscriptions annuelles. Ce remaniement des pratiques d’enseignement lui a également permis d’accueillir, de façon virtuelle, son plus grand nombre d’intervenantes et d’intervenants étrangers à ce jour, avec des spécialistes d’Asie, d’Europe, d’Afrique, d’Amérique latine et des États-Unis.
S’ils s’adressent d’abord à la communauté étudiante de l’Université de Montréal, les programmes des écoles d’été du CÉRIUM intéressent des gens issus de différents milieux, tels que des fonctionnaires, des scientifiques, des membres d’organisations non gouvernementales ou encore des représentants et représentantes d’associations professionnelles. L’interdisciplinarité qui y est privilégiée permet aux chercheurs et chercheuses responsables d’aborder leurs sujets sous plusieurs angles et de joindre ainsi un public diversifié.
«Malgré les inconvénients posés par la pandémie, nous sommes parvenus à tisser des partenariats avec des collègues de l’étranger et, par la même occasion, à attirer des professeurs et professeures et des étudiants et étudiantes d’ailleurs désireux de profiter de l’expérience offerte par nos écoles, explique Magdalena Dembinska, directrice académique du CÉRIUM. Avec chaque nouvelle programmation, l’expertise de notre équipe s’agrandit, nous permettant de bonifier notre offre auprès de notre clientèle et de conseiller les autres unités et départements de l’Université lorsqu’ils s’engagent dans des démarches similaires. Il s’agit d’un projet que nous prévoyons assurément inscrire dans la durée.»
Malgré les inconvénients posés par la pandémie, nous sommes parvenus à tisser des partenariats avec des collègues de l’étranger et, par la même occasion, à attirer des professeurs et professeures et des étudiants et étudiantes d’ailleurs désireux de profiter de l’expérience offerte par nos écoles.— Magdalena Dembinska