Sylvie Beaudoin, TGDE à l’École d’optométrie, accompagne les étudiants jusqu’à leur collation

Sylvie Beaudoin, TGDE à l'École d'optométrie

Sylvie Beaudoin, TGDE à l'École d'optométrie

Crédit : Amélie Philibert

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En cette semaine des collations des grades, Sylvie Beaudoin, TGDE à l’École d’optométrie, nous parle avec affection des étudiants qu’elle accompagne tout au long de leur formation.

Sylvie Beaudoin travaille depuis 20 ans à l’Université de Montréal. Après avoir été technicienne en gestion des dossiers étudiants (TGDE) au Département de géographie de la Faculté des arts et des sciences, elle est depuis ces cinq dernières années TGDE pour les trois cycles à l’École d’optométrie. Après être partie à la retraite, elle est revenue à l'UdeM. 

Elle voit grandir les étudiants et les étudiantes depuis leurs premiers jours à l’Université jusqu’à l’obtention de leur diplôme. Un premier jour qui n’est pas forcément le premier jour d’études en optométrie pour tous, car certains peuvent avoir déjà suivi d’autres cours universitaires de première année ailleurs. «On commence donc par regarder quelles équivalences sont possibles», dit-elle. 

Au fil des semaines et des mois, Sylvie Beaudoin accompagne les étudiantes et étudiants lors de leurs examens de mi-session ou de fin de session. Elle est aussi présente s’ils désirent demander une révision de note. Elle est là pour les classes du premier cycle comme pour celles des cycles supérieurs, «un travail qui demande plus de suivi, qui est plus au jour le jour», indique-t-elle. 

Elle aime beaucoup guider les étudiants et les étudiantes. «C'est toujours un plaisir de les aider. Ils sont très assidus», mentionne-t-elle. En cas de problème, ils peuvent compter sur la TGDE. Ainsi, il est arrivé plus d’une fois qu’un étudiant ou une étudiante accourt dans son bureau en catastrophe en raison de la perte de sa valise d’équipement! 

En cette semaine de collations des grades, Sylvie Beaudoin se sent très fière des étudiants et étudiantes de l’École d’optométrie. «Ce moment est vraiment un aboutissement pour chacun d’eux et chacune d’entre elles, confie-t-elle très émue. Et j’ai aussi un petit pincement au cœur parce que je sais que c'est la dernière fois que je vais les voir, à moins d'aller consulter un optométriste. Là, peut-être que je croiserai un ancien ou une ancienne.» 

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