Des étudiants de l’UdeM brillent au Gala Forces Avenir

Les trois lauréats et les quatre finalistes de l’UdeM

Les trois lauréats et les quatre finalistes de l’UdeM

Crédit : Gilles Fréchette

En 5 secondes

Trois lauréats en plus de quatre finalistes de l’UdeM font rayonner l’engagement étudiant au Gala Forces Avenir 2021.

Le Gala Forces Avenir 2021, webdiffusé le 6 octobre, a été l’occasion de reconnaître l’engagement d’étudiantes et d’étudiants d’universités du Québec. Il a aussi été une belle preuve que, lorsqu’on donne, on reçoit

Cette année, l’Université de Montréal est fière de compter parmi ses sept finalistes engagés trois lauréats. Grâce à la personnalité rayonnante et aux projets inspirants de ces étudiantes et étudiants, force est de constater que l’engagement a un effet positif tant sur le parcours de ces personnes que sur leur communauté.  

Voici ceux et celles qui encouragent et motivent l’engagement étudiant à l’Université.

Lauréat | Personnalité par excellence (15 000 $)

Même si Wolf Thyma et sa famille ont vécu dans la pauvreté à leur arrivée à Montréal, les parents du jeune homme lui ont appris qu’aider les autres n’est pas un acte de charité, mais bien un devoir de citoyen. Il décide d’étudier en médecine, après des études de droit, afin d’améliorer la situation de populations vulnérables et marginalisées souvent frappées par des troubles de santé mentale et devient ainsi un militant instruit qui s’intéresse à l’interaction de la santé mentale et du système judiciaire.

Lauréat | Projet par excellence (15 000 $)

Né d’une envie de démocratiser l’art et de mettre en lumière les œuvres que l’on côtoie au quotidien, le projet MONA est une application qui met en valeur l’art public. Avec l’aide d’autres personnes, une étudiante de l’UdeM a créé une application mobile gratuite qui propose de voir les œuvres d’art et les lieux culturels du Québec autrement. L’application a déjà contribué au rayonnement de plus de 1400 œuvres d'art et 800 lieux culturels de la province.

Lauréate | Personnalité persévérante (4000 $)

À 13 ans, vivant des difficultés familiales, Ariel Garand abandonne l’école, bascule dans la délinquance, fait usage de drogues et séjourne en centre jeunesse. Aujourd’hui, elle étudie au doctorat. Sa thèse porte sur la relation entre la mentalisation et les fonctions de l’automutilation. Nul doute que la détresse qu’elle a vécue la rend empathique à la souffrance d’autrui et qu’elle prend les moyens pour dénoncer la discrimination et l’injustice.

Finaliste | Personnalité 1er cycle (2000 $)

Passionnée par les mathématiques, Shophika Vaithyanathasarma souhaite entreprendre des études aux cycles supérieurs en didactique pour lier l’enseignement des mathématiques aux problématiques actuelles en santé et en environnement, car c’est en passant par les écoles qu’on peut instaurer le changement nécessaire au bien-être commun. C’est simple, cette étudiante s’engage à rendre accessibles les mathématiques pour construire un monde meilleur!

Finaliste | Projet Entraide, paix et justice (2000 $)

Une étudiante désireuse d’aider les femmes de son quartier à s’intégrer dans la collectivité a créé le projet communautaire écoresponsable Fil collectif, qui fait appel au talent en couture d’une douzaine de femmes habitant Parc-Extension pour confectionner divers accessoires à partir de tissus recyclés. D’abord centré sur la fabrication de masques pour réduire les cas de COVID-19, le projet s’est tourné vers la création de vêtements chauds pour l’hiver.

Finaliste | Projet Entrepreneuriat, affaires et économie sociale (2000 $)

Le projet Tuto A + est une plateforme numérique qui a pour but d’aider des élèves en manque de ressources. Dans le confort de leur foyer, ces jeunes peuvent bénéficier d’un service de tutorat et de mentorat complet, en plus d’avoir accès à du matériel d’enseignement de qualité et à une salle d’étude virtuelle.

Finaliste | Projet Entrepreneuriat, affaires et économie sociale (2000 $)

Les pharmacies ont été mises à rude épreuve durant la pandémie. En réponse au manque de main-d’œuvre, un étudiant de l’UdeM a mis sur pied l’agence SOS Pharm. D. qui, à la différence des autres organismes de ce type, fait appel à des étudiantes et des étudiants de deuxième année en pharmacie qui peuvent mettre leurs connaissances en application tout en soutenant une bonne cause.

L’UdeM les félicite chaleureusement et les incite à poursuivre leurs projets!