Projet pilote de mentorat pour la relève

En 5 secondes

Flexible et adapté à l’horaire de chacun, ce programme prévoit des rencontres au moins une fois par mois d’un minimum d’une heure chacune entre le mentor et le mentoré.

Le bilan de la deuxième session du projet pilote de mentorat est de bon augure. Bénéfique pour le développement professionnel de gens diplômés depuis moins de cinq ans, il représente aussi une occasion de bénévolat pour toute personne diplômée d’expérience désireuse d’encourager la relève.

Les deux premières années ont permis de mettre à contribution quelque 10 facultés entre les mois de janvier et avril. Mais à l’avenir, le projet sera plus englobant.

Flexible et adapté à l’horaire de chacun, ce programme jumelle un mentor au nombre de mentorés souhaité (entre un et trois) et prévoit des rencontres au moins une fois par mois d’un minimum d’une heure chacune.

L’apprentissage est mutuel, comme le souligne le mentor Luc Boileau, directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint au ministère de la Santé et des Services sociaux: «Mon expérience de mentorat a représenté une occasion d’aider, une occasion d’accompagner, mais aussi une occasion d’apprendre.»

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