L’engagement philanthropique, un geste qui rapporte
L’Université de Montréal possède une forte tradition philanthropique, vieille de plus de 100 ans. Par leur geste, les donateurs et donatrices contribuent à son histoire. Ce qui se construit aujourd’hui sera bénéfique pour chacune des 13 facultés et écoles où les leaders de demain préparent l’avenir. En cette fin d’année, il importe de rappeler que plusieurs actions philanthropiques peuvent procurer d’importants avantages fiscaux.
Un type de don des plus avantageux
Moins connu, quoiqu’il soit parmi les plus avantageux fiscalement, le don de titres cotés en Bourse laisse une empreinte tangible sur l’évolution de toute la société. Parmi ceux et celles pour qui l’enseignement supérieur est une priorité et qui ont choisi ce type de don se trouvent Robert Panet-Raymond et Françoise Guénette.
«Au cours des 20 dernières années, j’ai participé au développement du CEPSUM et du programme de sport d’excellence de l’UdeM. Étant moi-même un ancien Bleu, je crois profondément aux bienfaits du sport universitaire. Les Carabins et ses nombreuses équipes constituent aujourd’hui le plus important programme de sport universitaire francophone en Amérique. C’est pourquoi je me suis engagé à titre de bénévole et j’ai consacré mon appui philanthropique au sport d’excellence. En optant pour le don de titres cotés en Bourse, j’ai pu profiter de l’exemption totale d’impôt sur le gain en capital tout en obtenant un crédit d’impôt grâce au reçu officiel. Chaque don compte et j’invite toutes les personnes diplômées à donner dans la mesure de leurs moyens», dit Robert Panet-Raymond, diplômé, administrateur émérite de l’UdeM et donateur.
«Je suis tombée en amour avec l’UdeM parce que j’y vois tellement de talent! J’ai fait un don planifié par une assurance vie et je paie la prime chaque année par des actions cotées en Bourse. Un don que j’aurais pu échelonner sur plusieurs années! Les dons planifiés nous permettent de faire des dons plus importants et d’assurer la pérennité de l’UdeM. L’éducation permet de mieux comprendre son environnement, de mieux évaluer ce qui se passe autour de soi, de mieux évaluer la société en tant que telle et je crois qu’on devient une meilleure personne, plus ouverte aux autres, plus ouverte aux réalités et moi, c’est ce que je souhaite à tout le monde: avoir ce besoin de savoir, pour soi-même et pour être un meilleur acteur dans la société», indique Françoise Guénette, ancienne membre du Conseil de l’Université et donatrice.