Emilie L. Cayer est nommée directrice générale de la philanthropie

Emilie L. Cayer

Emilie L. Cayer

Crédit : Courtoisie

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Emilie L. Cayer devient directrice générale de la philanthropie au Vice-rectorat aux relations avec les diplômés et à la philanthropie.

Avocate titulaire d’un baccalauréat en droit et d’une maîtrise en muséologie de l’Université de Montréal, en plus d’une maîtrise en administration des affaires de HEC Montréal, Emilie L. Cayer quitte le milieu de la philanthropie muséale après plus de 10 ans pour rejoindre les rangs de l’UdeM. Depuis le 15 juillet, elle occupe le poste de directrice générale de la philanthropie au Vice-rectorat aux relations avec les diplômés et à la philanthropie.

«J’ai travaillé dans deux des plus grandes organisations culturelles au Québec, soit le Musée national des beaux-arts du Québec et le Musée des beaux-arts de Montréal, indique-t-elle. J’ai envie maintenant de poursuivre ma carrière dans un nouveau milieu et de vivre la philanthropie à plus grande échelle pour voir tout ce qu’il est possible d’accomplir au Québec dans le cadre d’un grand projet.»

Celle qui se dit curieuse de nature et amoureuse des études depuis toujours est particulièrement heureuse de revenir à l’UdeM.

«L’université représente la connaissance et l’excellence, affirme Emilie L. Cayer. C’est aussi l’endroit qui donne des occasions aux jeunes et aux moins jeunes de se spécialiser ou de se réorienter. Comme haut lieu de savoir, la mission première de l’UdeM me rejoint dans mes valeurs profondes. Je suis très stimulée d’y arriver alors que la Grande campagne bat son plein.»

Travailler en complémentarité

Avec son équipe de près d’une trentaine de personnes, Emilie L. Cayer travaillera de près avec les troupes de Claude Bernard, directrice générale de la stratégie et des opérations, un poste nouvellement créé au Vice-rectorat aux relations avec les diplômés et à la philanthropie.

«Nos rôles sont complémentaires et se nourrissent mutuellement, explique l’avocate. Nous avons le grand défi commun de livrer la Grande campagne, qui est audacieuse avec ses objectifs de recueillir un milliard de dollars et de susciter 200 000 gestes de générosité. Pour y parvenir, nous allons marcher main dans la main et avancer dans la même direction.»

Elle mentionne l’importance de faire ressortir les forces de l’Université, de s’assurer d’avoir une bonne planification en amont et les bonnes stratégies pour joindre toute la communauté philanthropique.

«Avec la Grande campagne qui rayonne partout, c’est le moment idéal pour communiquer par exemple avec les personnes diplômées de l’UdeM qui n’ont jamais pensé donner et qui veulent rallier le mouvement ou avec d’autres qui ont déjà donné de petites sommes et qui sont prêtes maintenant à donner plus. La Grande campagne est mobilisatrice, unificatrice», observe-t-elle.

Emilie L. Cayer souligne également sa volonté de travailler avec les différentes parties prenantes de l’UdeM autour de la Grande campagne pour que chaque personne puisse devenir ambassadrice dans son réseau afin d’amener plus de gens à participer à l’élan de générosité.

«C’est ce qui permettra d’aller plus loin et qui aura une influence sur le futur de l’Université», conclut-elle.

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