Depuis l'adoption de la Loi 25 en 2021, il est devenu extrêmement ardu d'obtenir des données sur la protection de la jeunesse au Québec, au point où nombre de projets de recherche finissent par avorter, déplore la professeure Sonia Hélie, dans le cadre du 91e Congrès de l’ACFAS.