Les personnes qui subissent une commotion cérébrale, même légère, peuvent avoir de la difficulté à identifier les odeurs dans les jours qui suivent et éprouver des problèmes d'anxiété un an plus tard.
Selon une étude menée par l’Université de Montréal, crier, fesser, gifler ou secouer un enfant pourrait altérer ses «circuits cérébraux de la peur» jusqu’à l’adolescence.
Des chercheurs de l’UdeM ont découvert un processus moléculaire par lequel des médicaments antileucémiques agissent, ce qui ouvre la porte à des traitements très prometteurs.
L’intuition de chercheurs du CHU Sainte-Justine quant à l’efficacité d’un médicament pour traiter la leucémie, mais destiné au départ à l’insuffisance cardiaque, s’est avérée juste.