La science au féminin: lumière et coins d’ombre

Crédit : IRCM

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Depuis toujours, les femmes ont joué un rôle essentiel dans l'évolution et la transmission des connaissances scientifiques.

Bien avant l’existence de la science empirique, les femmes étaient parties prenantes de l’observation des maladies, de leurs causes et de la recherche de solutions. Ainsi, en dépit de l’oblitération des femmes de divers récits historiques jusqu’à récemment, l’histoire de la science laisse sporadiquement apparaître dans sa trame une figure féminine qui en toute bonne conscience peut difficilement être tue. 

De Méryt-Ptah, femme médecin en chef de la cour du pharaon de la IIe dynastie d’Égypte, à Marie Curie, la seule personne à avoir reçu deux prix Nobel pour deux sujets différents, à nos chercheuses d’aujourd’hui, l’influence immense des femmes en science n’est ni nouvelle ni discutable. Mais elle est peu reconnue. 

Récemment, des sondages montraient qu’un Canadien sur deux est incapable de nommer une femme en science et encore moins ses réalisations. Quand on y pense…

Le 11 février est la Journée internationale des femmes et des filles de science. Ce jour ne suffirait pas à faire le tour de l’apport incommensurable des femmes en science ni des défis qui entravent encore cette voie. Toutefois, il demeure un bon prétexte pour ramener ce sujet à l'avant-plan et pour continuer à combattre les inégalités persistantes.

Pour l’occasion, l’Institut de recherches cliniques de Montréal (IRCM) a mis à l'honneur certaines de ses chercheuses, qui ont accepté de partager leur vécu et leurs espoirs. Lisez la suite sur le site de l'IRCM.

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