Luc Stafford est nommé vice-recteur adjoint à la recherche

Luc Stafford

Luc Stafford

Crédit : Amélie Philibert | Université de Montréal

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Le Comité exécutif de l’UdeM a nommé Luc Stafford vice-recteur adjoint à la recherche à sa rencontre du 22 novembre.

Luc Stafford a été nommé vice-recteur adjoint à la recherche par le Comité exécutif de l’Université de Montréal le 22 novembre. Le mandat de M. Stafford, qui a commencé le 23 novembre, se terminera le 31 mai 2025. Depuis juillet 2021, il occupait un poste de conseiller spécial au Vice-rectorat à la recherche, à la découverte, à la création et à l'innovation.

Professeur titulaire au Département de physique de la Faculté des arts et des sciences (FAS), Luc Stafford est à la tête depuis 2016 de la Chaire de recherche du Canada en physique des plasmas hautement réactifs.

Très engagé dans la communauté universitaire, il a été membre de l’Assemblée universitaire, de la Commission des études et du Conseil de l’Université. Il a aussi siégé au conseil de la FAS et présidé le comité des bourses de son département durant près de 10 ans, en plus de participer à plusieurs comités d’évaluation aux Études supérieures et postdoctorales.

À l’échelle internationale, il a été élu en 2019 au conseil de l’International Plasma Chemistry Society et, depuis 2021, il assume également les fonctions de membre du comité-conseil du Leibniz Institute for Plasma Science and Technology en Allemagne.

Au sein du vice-rectorat, Luc Stafford est responsable du secteur Nature et technologies. À ce titre, il voit au suivi des dossiers relevant de ce secteur, notamment comme leader au Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, et au pilotage de projets stratégiques institutionnels, particulièrement ceux associés au projet Construire l’avenir durablement du Laboratoire d’innovation. Il a activement contribué à la mise sur pied de l’initiative Une seule santé et à son rayonnement pancanadien et a lancé un tout nouveau projet structurant sur l’écoresponsabilité en recherche, en plus de mener de front d’autres dossiers majeurs comme le suivi de Calcul Québec ou l’appui au développement scientifique de l’Institut Courtois.