Alain-Philippe Fortin, professeur adjoint en sciences économiques
- UdeMNouvelles
Le 10 septembre 2024
- Martin LaSalle
Spécialisé en économétrie financière, Alain-Philippe Fortin fait son entrée au Département de sciences économiques de l’Université de Montréal à titre de professeur adjoint.
Depuis le 1er juillet, le Département de sciences économiques de l’Université de Montréal compte dans ses rangs un nouveau professeur adjoint en la personne d’Alain-Philippe Fortin. À cette session d’automne, il donne aux étudiantes et étudiants de 2e cycle les cours Économie financière et Sujets spéciaux en monnaie, banques et marchés, dont était responsable le professeur René Garcia.
Issu de HEC Montréal, Alain-Philippe Fortin obtient son baccalauréat en administration des affaires en 2015 et sa maîtrise en économie financière en 2017.
L’année suivante, il entreprend ses études doctorales en finance à l’Université de Genève, au sein du programme du Swiss Finance Institute.
«J’étais attiré par la qualité du programme qui était offert et, comme j’étais intéressé par les travaux scientifiques du professeur Olivier Scaillet, je l’ai contacté directement. J’ai fait partie de la cohorte des neuf étudiants à avoir été sélectionnés pour ce doctorat en finance», indique celui dont le père est actuaire et la mère gestionnaire en technologies de l’information.
Le domaine de prédilection d’Alain-Philippe Fortin est l’économétrie financière et la tarification empirique des actifs financiers. «Mes projets de recherche visent, entre autres, à élaborer de nouvelles méthodes statistiques pour analyser des modèles factoriels de grande dimension», précise-t-il.
Six ans après s’être envolé pour Genève, Alain-Philippe Fortin est de retour à Montréal, où il aura à conjuguer son enseignement et ses projets de recherche, notamment avec ses collègues Benoit Perron et Marine Carrasco, du même département.
«Outre mes projets de recherche, mon objectif est d’aider mes étudiantes et mes étudiants à développer leurs compétences et leurs capacités analytiques, ainsi que de les encadrer dans la réalisation de projets innovants», conclut Alain-Philippe Fortin.